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Session de psychologue

chez le "psy"...

A la lecture de cette page vous allez découvrir ce qui se passe quand vous poussez la porte de mon cabinet...

aller voir un psychopraticien, c'est quoi?

Qu'est-ce qui pousse une personne à franchir la porte d'un psychopraticien? Comment peut-on se confier à un illustre inconnu ? Que recherche-t-on ?

 

Quand un patient franchit la porte de mon cabinet... 


Les rapports entre individus sont par essence, étranges, bizarres, curieux. Vous rentrez dans le cabinet du psychopraticien, vous prenez place en face d’un inconnu et vous vous devez de lui dire quelque chose, mais quoi ? Tout ou rien, rien n’oblige un patient à parler, ni même à dire les choses. Mais l’espace que je crée au sein de mon cabinet est propice pour « se dire », se poser, déposer ce qui pèse pour enfin pouvoir se reposer… c’est un espace d’accueil inconditionnel de l’être humain qui est en face de moi, dans toute sa force et sa faiblesse, dans toute son humanité.

 

Le « psy », un confident qui ne servira pas de vos faiblesses


Le psychopraticien n’est pas un ami, mais c’est quelqu’un qui a une posture bienveillante de soignant.

S’il n’est pas un ami, il reste un confident, il est le témoin d’un moment de votre vie.

 

Le psychopraticien ne se servira jamais de vos faiblesses pour obtenir quelque chose ou pour utiliser, après une dispute, vos pires angoisses ou vos pires faiblesses pour prendre l’avantage. C’est ce qui en fait un confident et un allié si particulier. On parle d’ailleurs d’alliance thérapeutique lors d’une prise en charge. Il a le devoir absolu de respecter la confidentialité des échanges entre le patient et lui, et est capable d’échanger sur tous les sujets, sans tabou.

 

 

Un transfert en toute mesure


Un bon suivi par un psycho-praticien se fait avec un « transfert », c’est une façon de se sentir proche et en confiance avec son psychopraticien afin de laisser libre cours aux pensées et de se sentir en sécurité.

Cela permet au patient de se sentir totalement accepté par le professionnel. Si le transfert est trop massif (trop affectif), il convient au psychopraticien de savoir doucement recadrer son (ou sa) patient(e) afin que cela ne devienne pas un jeu de séduction, un défi ou une obsession.


Le psychopraticien moderne n’est pas un glaçon : il a de l’empathie et de la compassion, des émotions, même s’il ne les montre pas. Il peut être attaché à ses patients, leur porter une certaine forme de tendresse. Néanmoins, il doit tenir le mécanisme à l’écart du moindre malentendu.

 

Le premier contact


La première séance est un moment important où le patient pourra juger si ma pratique et ma façon d’aborder les choses lui conviennent. C’est ce que j’appelle l’entretien préliminaire. Si ma façon de pratiquer lui convient alors il met toutes les chances de son côté pour pouvoir avancer dans sa prise en charge.

 

Un psychopraticien pour pallier à la solitude ? Pour dépasser les défenses que l’on s’est construites ?

 

Beaucoup de patients nous révèlent ne pas avoir eu des parents disponibles, une rigidité qui ne leur permettait pas d’aborder de nombreux sujets avec eux. In fine, un sentiment de solitude qui ne s’est pas arrangé avec les années et qui s’est installé durablement.

 

Le psychopraticien a dédié 1 heure à son patient, ce sera la sienne, il ne sera pas interrompu, pas mis à la porte, pas annulé, pas remplacé : aucun risque que le psychopraticien soit absent et abandonne son patient. Le psychopraticien est fiable dans sa posture d’accompagnement.

 

Pendant ce laps de temps, le patient recouvre une certaine authenticité, il n’a pas besoin d’enfiler le costume de papa ou de maman, de mari ou d’épouse, de banquier ou de commercial. Il pourra être lui tout simplement sans avoir le devoir, l’obligation de jouer un rôle social, familial. Les masques tombent, il n’est pas jugé mais accepté tel qu’il est.

 

Cette dernière "donnée" est essentielle car elle est synonyme de liberté pour le patient : une liberté d’être, de dire ou de ne pas dire, un moment de liberté pour son bien-être et son équilibre psychique.

 

Le psychopraticien n’a aucun "pouvoir de guérison" sur le patient…

 

Sa seule responsabilité est de tout mettre en œuvre pour guider le patient dans son voyage d’auto-découverte dans un cadre sécurisant et avec un accueil inconditionnel. Mais la guérison est indépendante de la volonté du thérapeute. La guérison ne peut venir que de l’individu et non d’une force extérieure.

Le psychopraticien a donc avant tout une obligation de moyens, et le résultat, lui,  est dépendant et de la responsabilité du patient.
 

Travail corporel ou avec des media: pourquoi ?

 

Parfois, les mots ne sont pas assez puissants pour réactiver ce qui a été refoulé et enkysté dans le corps faute de mots à l’époque (petite enfance) pour les comprendre et les exprimer. C’est le corps qui à l’époque a réagi.

On peut donc aider le patient à se reconnecter aux sources via des exercices appropriés en art-thérapie ou en thérapie psychocorporelle ou toute autre méthode comme l'EMDR, la CNV, TIPI, l'HYPNOSE MEDICALE etc...

 

 

En conclusion :

 

Le vrai changement via la thérapie n’est pas un changement radical, mais un processus de maturation que le patient effectue accompagné par le guide que représente le psychopraticien. Le patient devient plus sincère, solide ou fort vis-à-vis de ses ressentis émotionnels et corporels, plus authentique et bienveillant avec lui-même… il se comprend mieux grâce à un nouvel éclairage mis sur son histoire de vie. Cela l’aide à s’accepter avec ses forces et ses faiblesses, dans toute son humanité.

 

Venir voir un psychopraticien c’est se donner le droit de sentir ses émotions et/ou de s’exprimer sans aucune culpabilité. Cela demande un grand courage. Le cadre thérapeutique que je vous propose est là pour vous accompagner en toute sécurité et confiance sur ce chemin de découverte de vous-même.

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